Le violoncelliste Gautier Capuçon oppose à nos temps troublés le baume apaisant de mélodies classiques, telles le Clair de lune de Debussy et l’Ave Maria de Schubert, ou issues du répertoire néoclassique, avec des pièces de Max Richter, Ludovico Einaudi et Michael Nyman. Ces miniatures intemporelles pour violoncelle, piano et orchestre se succèdent comme autant de respirations méditatives, au délicat lyrisme. Arrangées par le pianiste Jérôme Ducros, « L’hymne à l’amour » de Piaf et « Hallelujah » de Cohen rejoignent avec poésie cette bouleversante traversée des sentiments.