Diaspora

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Quelques jours avant la parution de ce premier album officiel, le rappeur de Washington lançait en parallèle l’émission de radio IFFY FM sur la chaîne Beats 1, la décrivant comme « un voyage explorant les traditions sonores de plusieurs parties du monde » et « un carrefour de rencontres musicales de la diaspora noire ». GoldLink y présente aussi ceux qui l’ont inspiré, des artistes du Royaume-Uni, du Canada, de la Colombie, du Nigeria et, bien sûr, de sa région natale.L’album baigne dans cette philosophie de métissage. GoldLink fait tour à tour passer ses saccades post-trap à travers des filtres afrobeats, dancehall, street rap et pop britannique. Et sur « Spanish Song », les références ethniques sont enfouies sous les ardentes lignes mélodiques du synthé.La richesse de Diaspora repose par ailleurs sur une liste d’invités des plus diversifiées. L’antihéros de Los Angeles Tyler, The Creator, le producteur anglo-nigérian Maleek Berry, le crooner nouveau genre Khalid, la superstar de l’afrobeats Wizkid et le mauvais garçon du hip-hop Pusha T figurent parmi ceux qui ont contribué au projet.Avec Diaspora, GoldLink a donné rendez-vous à des voix et des talents variés, et provenant de différents pays. Et à la lumière des pièces diffusées à son émission IFFY FM, on peut conclure qu’avec ce premier album, l’artiste a bel et bien créé le genre de musique qu’il aime écouter.

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